
Louis Nicolas MATOUT (1811 – 1888), artiste peintre auquel nous devons, notamment, ‘‘L’Assemblée des Dieux’’, plafond de la salle Auguste du Musée du Louvre, la décoration du grand amphithéâtre de l’Ecole de Médecine de Paris, dont ‘‘Ambroise Paré faisant la première ligature’’, fresques disparues lors de l’incendie de 1889, et de la chapelle Sainte-Anne de l’église Saint-Gervais ainsi que ‘‘Saint-Louis relevant les morts’’, fresque de la chapelle Saint-Louis de l’Eglise Saint-Sulpice. Peintre religieux, inspirateur du Douanier ROUSSEAU, dont Charles BAUDELAIRE écrivait : ‘‘…il nous semble que M. MATOUT connaît trop bien son affaire, et qu’il a trop ça dans la main… D’une œuvre laborieusement faite il reste toujours quelque chose.’’, il fut le premier des MATOUT chevalier de la Légion d’honneur, dont le diplôme a été signé par Louis-Napoléon BONAPARTE le 15 mai 1858.



La bohémienne endormie, Henri Rousseau, 1897, tableau inspiré par « La femme de Boghari tuée par une lionne » de Louis Nicolas Matout en 1853
Saint-Louis relevant les morts, Chapelle Saint-Louis, Eglise Saint-Sulpice, Paris, 1870 Saint-Louis rendant la justice, Chapelle Saint-Louis, Eglise Saint-Sulpice, Paris, 1870 Plafond de la Chapelle Saint-Louis, Eglise Saint-Sulpice, Paris, 1870 Esquisse pour l’église Saint-Sulpice : Saint Louis enterre les morts sur le champ de bataille de Sayette (Syrie), 1871 Bacchus enfant, 1874 Vénus chevauchant un bouc marin, 1875